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5000ème commentaire !

Mille mercis à oodbae et ses 4999 prédécesseurs : j'ai reçu ce matin le 5000ème commentaire sur égéa. Bravo à votre fidélité et à votre constance, je prends ça comme un encouragement.

Juste une remarque à propos des commentaires : certains commentent sur Facebook : je trouve ça malheureux car les discussions s'y épanouissant quand elles demeurent sur le blog.

Certains me disent qu'ils n'osent pas commenter : je me demande bien pourquoi. Pour un blogueurs, le dialogue avec les lecteurs fait partie du plaisir du blog. Donc même pour dire "là c'est bien" ou "là c'est nul" (avec juste un argument), c'est utile. Vous êtes intéressants.

En avant donc pour le dix millième commentaire.

Cordialement

O. Kempf

Commentaires

1. Le samedi 13 septembre 2014, 11:44 par Yves Cadiou

Ne pas « oser » commenter, j'ai connu ça il y a quelques années quand c'était le début des blogs, et je vais donc me permettre de ''ramener ma science'' sur ce petit problème pour encourager ceux qui n'osent pas.
Ne pas « oser » commenter s'explique, àmha, de deux façons : la crainte d'écrire des bêtises ou le manque de motivation. Ça se résume en une double question : ''à quoi bon risquer de passer pour un imbécile ?''

Ceux qui n'osent pas doivent savoir que cette crainte n'est pas justifiée mais je veux d'abord dire que l'on résout le problème en débutant avec un pseudo. Puis plus tard, quand on voit que l'on ne déclenche pas trop de réactions hostiles on écrit sous son nom pour que le lecteur puisse évaluer, s'il le souhaite, la qualité (ou non) du témoignage selon l'expérience (ou non) et la qualification (ou non) de l'auteur du commentaire. Cependant l'on peut rester éternellement sous anonymat, comme ici oodbae dont les habitués d'égéa commencent à imaginer un peu (très peu mais suffisamment pour mettre ses commentaires en perspective) le profil réel.

Commenter, même sous anonymat, est toujours instructif pour celui qui commente, du moins sur les blogs bien fréquentés et bien tenus, comme ici. Au contraire c'est stérile sur les blogs où des lecteurs psychorigides, mal à l'aise devant des arguments qui les dépassent, se défoulent en invectives.

Et puis la crainte de signer des bêtises de son nom véritable : est-ce que ça a réellement de l'importance ? Tout le monde dit des bêtises un jour ou l'autre, ce n'est pas un drame. De plus le risque est limité quand on veille à rester courtois, raisonnable, pondéré, comme dans une conversation amicale. Ecrire une bêtise n'est pas irréversible : dans un cas qui vous déclencherait des regrets profonds et persistants vous pourriez toujours demander au Maître du Blog d'effacer, ce qu'il ne saurait vous refuser.

Enfin écrire des bêtises, ça peut se révéler à la fois marrant et instructif : mon copain le héron de l'Erdre pourrait vous le confirmer, lui qui, par nature, n'est capable que de bêtises et qui ose en proférer parfois, ici même, sans la moindre vergogne.

Egéa : je confirme que je reçois pas mal de commentaires me demandant "ne pas publier" : je ne les publie pas, c'est un moyen comme un autre de dialoguer. DIsons que la publication publique permet une conversation publique.

Mes amitiés au héron... mais aussi au veilleur de soleil.

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