Maintenant que la phase dynamique et "en mouvement" de la campagne du Mali est à son terme, il convient désormais de réfléchir aux aspects non-militaires de la situation. Car si l'on peut dire que le premier effet militaire est atteint (reprendre pied jusqu'aux frontières du pays) et que le second ne sera pas une partie de plaisir (établir un environnement sécurisé : pas gagné car les opposants vont chercher une tactique de harcèlement, cf. ce qui s'est passé cet après-midi à Gao), nous sommes en fait entré dans la phase non militaire de la crise. Et là....
dimanche 10 février 2013
Mali, et maintenant (3)
Par Olivier Kempf le dimanche 10 février 2013, 21:12