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14/14 Twist and shout

Quelques commentateurs ont expliqué que les sanctions européennes avaient fait de l’effet sur la Russie. Notamment, la suspension de Moscou du G8 redevenu en G7. Certains, l’Australie, qui doit accueillir le prochain sommet du G20, avaient émis l’hypothèse d’un bannissement du G20. C’était sans compter avec les autres BRICS (voir ici ). D’une part, ils se sont tous abstenus à l’ONU lors du vote récent de l’AGNU, manifestant ainsi leur soutien implicite à Moscou. Surtout, ils ont hurlé quand Canberra a susurré son idée. Autrement dit, vous faites ce que vous voulez avec votre G7, mais le G20 vous n’y touchez pas. Bref, en se retrouvant à 7 les Occidentaux se sont paradoxalement plus isolés qu’ils n’ont réussi à isoler la Russie. Vous avez dit : bien joué ?

source

Décidément, les titres des chansons des Beatles suscitent d'amusants abimes avec l'actualité géopolitique commentée ici. Ce soir, twist and shout

(Cliquer sur le titre pour lire la suite)

Pensées fugaces

Revenons brièvement sur les élections de la semaine dernière. Non pour faire du "commentaire politique", il y en a qui font ça bien mieux que ça et notamment OC. Tout le monde parle du "message politique" ou des villes passant d'un côté ou de l'autre (comme si les villes pouvaient bouger...). Ce qui m'inquiète, moi, c'est la conjonction de plusieurs éléments : pas simplement l'abstention, pas simplement le vote protestataire (et j'y inclus non seulement le FN mais aussi le FG ou encore des autonomistes de tout poil, comme celui de Bastia ou tel autre de Carhaix), mais aussi l'ampleur de la claque administrée au pouvoir. Cela n'avait jamais été vu. 150 villes qui changent de camp, cela dépasse une simple alternance politique, un "simple" rejet du pouvoir en place. Autrement dit encore, j'ai l'impression qu'on reproche surtout au pouvoir de ne plus avoir de "pouvoir", justement. D'être impuissant. Comme si le vote matérialisait surtout un rejet de la politique. Et comme si le clivage droite-gauche, auquel se raccrochent bien des "commentateurs politiques", était réellement et profondément dépassé. Réellement : au fond, un message du "réel" face à des métastructures qui prolifèrent en dehors des gens. Bref, un séisme social bien plus important que sa manifestation politique. Ce qui me rend très pessimiste.

Décès de Jacques Le Goff. Un des derniers "patrons" de l'école historique française. Pas simplement des Annales et de l'histoire globale, mais de ces historiens qui se sont succédé depuis... plus d'un siècle. Quel historien contemporain ? Leroy Ladurie ? P. Nora ? Certes, quelques jeunes pousses apparaissent (je pense aux biographes de Talleyrand ou Bonaparte)... Bref, malgré tout une perte. RIP (en latin chartiste, bien sûr).

Un technocrate explique tranquillement, l'air satisfait, qu'il a bon espoir de faire passer la limitation de vitesse à 80 Kmh parce que vous comprenez... Non, je ne comprends pas, je ne comprends plus. Je comprends surtout que toutes ces règles s'amoncellent et mettent les gens en colère. Qu'on a besoin de stabilité et non de contraintes supplémentaires. Que ce genre de décision, apparemment déconnectées, nourrissent le ras-le-bol. Laissez nous tranquilles... Trop de règles.

En matière de SIGINT, Russes : 3 - US : 0. Car voici le soi-disant scoop du Telegraph Si la seule écoute que la NSA a réussi à saisir, c'est une conversation entre l'ambassadeur russe en Érythrée et celui au Zimbabwe, qui déconnent, un peu éméchés, cela prouve que la NSA est dans le bleu, et que les Russes tiennent vachement bien leur liaisons.... Bref, cette fuite est surtout un signe de la faiblesse américaine.

Bien. Je m'excuse par avance car je n'ai aucun titre à parler du Ruanda, je n'ai pas beaucoup lu et je comprends que le sujet suscite d'énormes passions. Bref, j'accepte par avance les reproches qu'on va me faire, style "tu n'y as rien compris". Non, effectivement, je n'ai pas compris grand chose. Voici donc ce que j'ai saisis :

  • d'une part, un coup géopolitique plus ou moins bien joué par des autorités politiques selon des motifs plus ou moins solides : il y a une place à prendre, c'est la francophonie, etc... Mais comme souvent, l'affaire n'est pas suivie de près. Bref, pas de participation au génocide mais une affaire qui échappe à ses auteurs qui n'ont pas les moyens de la maîtriser. En un mot : un calcul au petit pied sur un théâtre secondaire qui part en quenouille pour devenir le dernier génocide du XX° siècle. On peut accuser le pouvoir de négligence et d’imprudence, certainement pas de planification.
  • d'autre part, des militaires qui vont là-bas pour une mission d'interposition, qui font ce qu'ils peuvent et se font très rapidement dépasser par les événements par manque de moyens, sans réel appui du pouvoir (cela s'est déjà vu...). Là encore, aucune participation directe. Mais la vision de près des horreurs traumatise durablement les témoins qui en sont durablement affectés : du coup, les accusations de complicité les meurtrissent d'autant plus.
  • pour conclure, quand on parle de la "responsabilité de la France", l'expression me paraît trop large pour décrire la chaine des responsabilités. Surtout, contrairement à ce qui est souvent suggéré, il ne s'agit pas d'un excès de calcul participant à un complot malfaisant "en faveur de notre salaud", mais au contraire d'un manque de planification et de moyens mis en œuvre pour essayer de contrôler la zone, avec des acteurs locaux qui agissent hors de toute référence.
  • Mais je répète, je ne connais pas assez et cherche, par ces quelques mots, à coucher les quelques idées suscitées par le sujet.

Pendant ce temps là, le Brésil signait pour 36 Grippen

Élections en Afghanistan : elles se déroulent. Tout le monde s’en fiche, puisqu’officiellement, l’affaire ukrainienne est le plus grand événement de sécurité depuis la fin de la guerre froide. Du coup, c’est bien pratique pour ne pas voir que Karzai a refusé de signer un accord avec les Américains, que la production de drogue n’a jamais été aussi florissante, que la corruption est pandémique… on s’en va, débrouillez-vous, après tout. Vous ne nous méritez pas.

Élections en Hongrie. Une Hongrie totalement déboussolée comme le constate cet excellent article de Mediapart . Non seulement il n’y a plus d’idéologie mais en plus les gens ne croient plus aux institutions ; Du coup, la seule qui demeure est la famille. Le reste est considéré comme corrompu et inégalitaire. On revient à un « familialisme amoral » (expression malheureuse mais qu’on comprend) selon des structurations familio-maffieuses, comme dans les pourtours du bassin méditerranéen. L’égoïsme du faible renvoie à l’égoïsme du riche, tous deux déstructurants de la cohésion nationale. Après, on s’étonne que les populismes fourmillent…

Au fond, la dérégulation consomme des biens à usage unique : l’environnement (qui a mentionné le récent rapport du GIEC publié cette semaine encore plus inquiétant que jamais ? EELV ? Nan, je déconne....) et la structure étatique. Pour cette dernière, il n’y a pas de rapports qui dénoncent cette destruction de l’État, cet État qu’il a fallu des générations à construire….

A propos d'écologie, je me suis longtemps interrogé pour comprendre comment une idéologie conservatrice (conserver la biosphère) et donc de droite soit passée dan le camp de la gauche. Jusqu'à ce que je comprenne que le plus grand consommateur de cette biosphère est le "capitalisme", étiqueté de droite. Bon, d'accord, maintenant on ne sait plus et il est donc fort possible que l'écologie revienne à droite...

A part ça, non seulement les Européens ne viennent pas mais les Tchadiens s’en vont. Je parle de la RCA. De mieux en mieux.

Ailleurs, pendant qu’on s’époumone sur le choc communicationnel constitué par la nomination d’un nouveau gouvernement (durée de vie du choc : celle d’une bulle de savon), la violence s’étend : elle dépasse des records en Irak (voir ici ) quand elle s’enracine en Égypte : on pensait jusqu’à présent que c’était cantonné au Sinaï (ce qui n’était déjà pas très rassurant) voici que cela s’étend au delta du Nil (voir ici ).

Souvent, les destins exceptionnels sont le fait non seulement des circonstances, mais aussi d’individus venant des marges géographiques : Napoléon le Corse, Franco le Canarien, Hitler l’Autrichien, Staline le Géorgien, Tito le Croate…

Livre reçu, acheté, paru ou lu (ou un peu de tout ça)

Le choc, la Chine en marche par Serge Berthier, Mettis éditions, 2014

source et présentation

La guerre au XXe siècle Stéphane Audoin-Rouzeau, Raphaëlle Branche et alii Collection Doc’en poche – Regard d’expert La Documentation française 190 pages, 9,90 euros ou 6,99 en version numérique En vente le 15 avril 2014

  • I La guerre au XXe siècle : une anthropologie historique
  • . L’expérience combattante (Stéphane Audoin-Rouzeau)
  • . L’expérience des civils (Anne Duménil)
  • II Les guerres du XXe siècle : deux études particulières
  • . La guerre froide (Pierre Grosser)
  • . La guerre d’indépendance algérienne (Raphaëlle Branche et Sylvie Thénault)

Etude de l'IRSEM n°30 Accès aux espaces communs et grandes stratégies : vers un nouveau jeu mondial de Frédéric Ramel. Espaces non-terrestres accessibles à tous mais détenus par personne tels que l’espace aérien international, l’espace extra-atmosphérique, la haute mer et le cyber, les global commons ne sont plus « contrôlés » par les Etats-Unis. Aujourd’hui, la rivalité des puissances émergentes s’intensifie, se traduisant par une posture dite de « déni d’accès » aux dépens des forces armées américaines : c’est-à-dire une forme de campagne conduite à de longues distances qui peut aller jusqu’à une interdiction de zone. Une telle configuration entraîne l’élaboration d’une nouvelle Grande stratégie aux Etats-Unis ayant comme visée de maintenir les flux dans mais aussi et surtout l’accès à ces espaces. L’objectif de la présente étude consiste à analyser les caractéristiques conceptuelles et doctrinales des global commons dans la production officielle de l’administration Obama (de la QDR 2010 aux documents préparatoires de celle de 2014) mais aussi à identifier la manière dont la Chine et la Russie incorporent cet enjeu dans leur propre posture stratégique. Ce qui permet d’identifier un nouveau grand jeu mondial pour cette première moitié de XXIème siècle assez éloigné de la perspective classique d’un grand échiquier ayant l’eurasie comme cible. Il a pour objet central la liberté de mouvement dans les espaces communs. Il n’est pas non plus sans conséquences comme les tendances à la militarisation de ces espaces. Cette étude entend également mettre en relief deux autres apports pour la pensée stratégique : une homologie entre les espaces communs favorable à des options offensives, ainsi qu’une conception extensive de « l’état de guerre ».

POPULATION & AVENIR - Au sommaire du 717: France - Royaume-Uni : un match démographique très disputé - - 1914 : une France démographiquement affaiblie - - L'étalement urbain avec l'exemple de Toulouse (exercice pédagogique)- - Démographie et nuptialité en France : « amour, droit et raison fiscale » - - Pays arabes : une fécondité en baisse ?

La piraterie maritime au regard du droit international Incertitudes et évolutions contemporaines Christophe Houry La piraterie maritime affecte la stabilité des régions concernées et rend nécessaire la mise en œuvre d'outils juridiques appropriés. Ce livre revient sur les évolutions juridiques modernes du droit de la mer en la matière, et plus particulièrement la transition du droit coutumier vers un droit codifié. Il traite aussi des problématiques juridiques spécifiques à la lutte contre la piraterie maritime moderne au regard du droit international. L'Harmattan (Coll. Le Droit aujourd'hui, 26 euros, 260 p., mars 2014)

Iran : une nouvelle donne ? Dossier dirigé par Clément Therme Revue : Confluences Méditerranée n°88 Ce numéro met en lumière la vitalité de la recherche et de l'analyse consacrées à l'Iran. Au sommaire notamment : L'Iran en 2014 : une Révolution normalisée ? ; Politique étrangère de la République islamique : le rôle du président ; L'économie iranienne après l'élection de Hassan Rohani ; Etats-Unis-Iran : du Grand Satan au Grand Bargain ; (Re)formulations des hétéronationalismes en Iran... L'Harmattan, (18,5 euros, 202 p., mars 2014)

Le Laboratoire de Recherche sur la Défense (LRD) de l'Ifri est heureux de vous annoncer la publication du Focus stratégique n° 50 Quelles perspectives pour l’industrie européenne des armements terrestres ? par Aude-Emmanuelle Fleurant et Yannick Quéau Télécharger directement le texte en version pdf

Alain Joxe, Les guerres de l‘empire global, La Découverte, 2012. OK, ça a deux ans mais on vient de me le passer et ça a l'air diablement intéressant. Comme très souvent, avec A. Joxe.

Articles, sites et liens

Culture

Mathurin Méheut, un artiste combattant dans la Grande Guerre Plongé dans la réalité des tranchées dès 1914, le peintre Mathurin Méheut nous livre un témoignage sur la Grande Guerre grâce à ses nombreux croquis pris sur le vif, dessins et lettres qu'il envoie à sa femme. Au-delà de l'intérêt artistique de ces dessins de guerre, cette exposition souhaite mettre l'accent sur leur dimension historique en les illustrant de documents d'archives, de petit matériel utilisé sur le front, de photographies et de films, empruntés notamment au Musée de la Grande Guerre de Meaux et à l'Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense Lieu : Musée Mathurin Méheut (Place du Martray, 22404 Lamballe Du mardi au samedi, de 10h à 12h et de 14h à 18h www.musee-meheut.fr

Entre les lignes et les tranchées - Lettres, carnets et photographies (1914-1918) Exposition organisée par le Musée des Lettres et Manuscrits de Paris - Commissaire d’exposition : Jean Pierre Guéno. Au fil des lettres, carnets, photographies, cette exposition redonne la parole aux gens ordinaires et raconte 1563 jours de mort et de vie au quotidien tout en révélant « entre les lignes » les véritables causes de la Grande Guerre : la nécessité de souder et de légitimer une troisième république toute neuve côté français et un empire improbable côté allemand, et surtout un nouveau partage d’un monde déjà préoccupé par le contrôle de ses sources d’énergie et de ses matières premières Lieu : Musée des Lettres et Manuscrits de Paris (222 boulevard Saint-Germain, Paris 7e) www.museedeslettres.fr

Grand peuple

Cela surprend tout le monde : il y aurait plus de 50 % de participation en Afghanistan, les femmes voteraient. Bref, un succès inattendu. A mettre au crédit des Occidentaux ? ou à leur départ ?

Mot gourmand

Lupin :parce que c'est la saison, parce que je demeure un grand enfant gardant la nostalgie des Arsène dévorés quand j'avais dix ans...

Mot bobo

Oxymore

Événements

10 avril Rappel, FORUM du FUTUR Conférence-Débat La démographie française dans l'Europe., 10.04.2014 de 18h à 20h à l’École Militaire Amphithéâtre Louis, avec GF Dumont.

10 AVRIL Conférence : « Les métropoles littorales, interfaces entre espaces solides et fluides et enjeux des conflits futurs » (10 avril) Nous recevrons Benoist Bihan, chercheur en études stratégiques, et coordinateur éditorial pour les magazines « Histoire & Stratégie » et « Défense & Sécurité Internationale » (DSI), pour une séance qui aura pour thème : « Les métropoles littorales, interfaces entre espaces solides et fluides et enjeux des conflits futurs ». Une discussion autour de l’ouvrage de David Kilcullen, « Out of the Mountains: The Coming Age of the Urban Guerilla » (Londres, Hurst & Co., 2014). Dans son dernier ouvrage, David Kilcullen, ancien officier de l’armée australienne devenu l’un des promoteurs de la « contre-insurrection » en Irak et en Afghanistan – il a en particulier été l’un des artisans de la mise en œuvre du Surge à Bagdad, en 2007-2008 – pose les métropoles « encombrées, littorales et connectées » comme les théâtres privilégiés, et particulièrement exigeants, des opérations militaires futures. Lieux de concentration humaine, mais aussi foyers et relais de réseaux économiques et sociaux planétaires, en extension permanente, les méga-cités – particulièrement celles des pays en développement et émergents – posent des défis spécifiques, liés à l’intersection de trois éléments : l’accroissement démographique, l’urbanisation des littoraux, la connectivité numérique. Ces villes assez grandes pour engloutir une armée, et dont l’interconnexion avec le reste du monde garantit que tout événement s’y produisant aura un écho planétaire exigent en conséquence, pour être « domestiquées » et contrôlées, l’adoption d’approches et de méthodes spécifiques. À partir d’une discussion critique de cette thèse, telle que l’expose D. Kilcullen, il s’agira d’interroger plus largement la double question du statut particulier des métropoles urbaines comme interfaces privilégiées entre les espaces solides et fluides, et d’explorer les problématiques spécifiques liées aux espaces interfaces (la ville) et frontaliers (les littoraux) entre espaces solides et fluides, afin d’affiner la définition et la distinction entre ces deux catégories. Cette séance se déroulera à l’EHESS, 105 bd. Raspail, de 17 h à 19 h en salle 5.

14 Avril A propos du Continuous monitoring, avec François Gratiolet, Directeur Sécurité Europe du Sud chez Qualys, qui animera le prochain Lundi de l’IE du Cercle d’Intelligence Economique du Medef Ile-de-France sur le sujet « Continuous Monitoring, du concept à la réalité ». Lundi 14 avril de 18h00 à 20h00 au 10 rue du Débarcadère 75017 Paris, près de la porte Maillot, dans le grand amphi de la Fédération Française du Bâtiment. inscription

15 avril Table ronde Futuribles International, 47 rue de Babylone, 75007 Paris (digicode sur rue : appuyer sur le bouton du bas ; aller au fond de la cour, 2e étage) « Entre chaos planétaire et nouvel ordre mondial » avec Kimon Valaskakis ancien ambassadeur du Canada auprès de l’OCDE, fondateur et président de La Nouvelle École d’Athènes, auteur d’un nouvel ouvrage Buffets & Breadlines. Is the World Really Broke or Just Grossly Mismanaged (AuthorHouse LLC, 2013) Mardi 15 avril 2014 (17h30-19h30). Inscription : bulletin réponse

18 avril Comment promouvoir l’intelligence économique ? Regards croisés autour des acteurs Discours d’ouverture Alain JUILLET, Président de l’Académie de l’Intelligence économique Table-ronde des Institutionnels • Philippe LOREC, Conseiller spécial de la Déléguée de la D2IE • Rémy PAUTRAT, Préfet à initiatives régionales pour l’IE x-Conseiller Sécurité du Premier Ministre Michel Rocard • Jean-Michel JARRY, Coordinateur ministériel à l’IE Ministère de l’Économie et des Finances L’intelligence stratégique et influence au service de l’entreprise Dominique LAMOUREUX, Vice-Président Ethics et Corporate Responsability THALES Table-ronde des Grandes entreprises • Philippe REVARDEL, Vice-Président Group Competitive Intelligence SANOFI • Olivier DARRASON, Président de la Compagnie Européenne d’intelligence Stratégique (CEIS)• Beatrice RIVALIER, Syndicat français de l’IE (Synfie) Perspectives• Renaud PROUVEUR, Fondateur de SPALLIAN Vendredi 18 avril 2014 08h00 à 12h30 Amphithéâtre Des Vallières École militaire Inscription

29 avril « Démocraties L’Ukraine ? Vous avez dit Ukraine et Crimée ! » avec le général (2S) Henri PARIS président de DÉMOCRATIES le mardi 29 avril 2014 à 19h30 au Cercle des Universitaires 12 rue Clément - 75006 Paris (métro Mabillon). Inscriptions via le club.

Arthur Le Chardon

Commentaires

1. Le dimanche 6 avril 2014, 22:37 par Chlorine melt

Hello,
Si vous confessez ne pas connaître le sujet du Rwanda, évitez l'orthographe Ruanda. Cela est connoté. Ou pédant. Ou les deux.
cdlt,
MC

Le Chardon : Bien compris.

2. Le lundi 7 avril 2014, 11:22 par yves cadiou

M'appuyant sur un aspect peu sérieux de votre billet, j'ajoute une réflexion futile.

Vous avez dit “abimes avec l'actualité” et illustré par “Twist and Shout”. J'y vois surtout que les pays émergents n'émergent pas d'aujourd'hui : cette chanson des Beattles au début des années soixante est inspirée (on dit poliment “une reprise” ou impoliment comme wikipedia “un plagiat”) de la chanson “La Bamba” venue de Veracruz. Bien évidemment, les paroles en anglais ainsi que le rythme et la sonorité sèche des guitares électriques des sixties n'ont rien de commun avec le folklore mexicain. Mais il reste que l'organisation mélodique est la même : Do, Fa, Sol, Sol-7.
On me dira qu'avec les seulement douze notes de la gamme chromatique, on est toujours obligé d'imiter une mélodie préexistante.

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