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22/14 Roll over Beethoven

Européennes : on n’a pas beaucoup comparé les chiffres de l’abstention au niveau européen, or ils me paraissent très significatifs. : Slovaquie 87% ; Pologne 77,3 ; Tchéquie 80,5 ; Hongrie 70,8 ; Croatie 75,7 ; Slovénie 79 ; Roumanie 65,3 ; Bulgarie 59,8 ; Grèce 43,7 ; Chypre 57,6 ; Lituanie 63 ; Lettonie 70 ; Estonie 63,6 ; Suède 49 ; Finlande 59,1 ; RFA 52 ; Danemark 45 ; PB 63 ; Autriche 55 ; Italie 40 ; Espagne 55,3 ; Portugal 65,5 ; UK 64, Belgique 10 (vote obligatoire) ; France 56,5. Autrement dit, le rejet est généralisé et il n’y a pas d’exception française. Quatre partis eurosceptiques arrivent en tête : Danemark, France, Grèce, Royaume-Uni. Là encore, pas d’exception française. Sur 750 députés, environs 145 seront eurosceptiques (moitié d’extrême gauche, moitié d’extrême droite) : vous avez parlé d’exception ?

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Pensées fugaces

Bien sûr, les élections européennes. Comme je l'avais annoncé, la bagarre s'amorce entre le Conseil (les États) et le Parlement. Si on considère que l'enjeu est la nomination du président de la Commission (une sorte de premier ministre), on se trouve devant un cas classique de régime dualiste : devant qui le chef de gouvernement est-il responsable ? L'exécutif (le PR en France, Le Conseil en UE) ou le législatif (le Parlement dans les deux cas) ? Bref, ce qu'on nous présente comme odieusement compliqué devrait être très simple pour des esprits français habitués à la V°. Au passage, il ne s'agit pas d'un problème démocratique : on se fiche que le commissaire Tartempion soit élu ou pas : demande-t-on à un ministre s'il est élu ? Cela pose-t-il un problème démocratique ?

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Le vrai problème posé par ces élections, ce n'est pas la France mais la GB, désolé pour votre chauvinisme mais cela fait bien longtemps qu'on n'a plus aucune influence (avant même N. Sarkozy, c'est dire). Avec un UKIP qui caracole, il est désormais évident que le référendum écossais va décider de l'indépendance (alors que jusqu'à présent, je disais seulement que c'était une option). Ca va déjà commencer à tanguer, ainsi que je l'ai signalé. Mais la cerise sur le gâteau, c'est que sans les Écossais, un référendum britannique sur l'appartenance à l'UE risque de voter la sortie, n'en déplaise à la City. Là, on va rire. En clair, l'Europe va faire plus un, moins un. Je propose que pour gagner du temps, Londres désigne dès à présent un commissaire écossais.

Là où il y a des PIGS (pays ayant bénéficié de la solidarité européenne) curieusement, les électeurs n'ont pas trop voté pour des eurosceptiques, quelles que soient les mesures d'austérité. En revanche, l'extrême gauche y a fait de vrais scores (Grèce, Espagne). J'en déduis donc que la France n'a pas encore subi de cure d’austérité.

L’autre jour, Forum économique de Saint-Pétersbourg, sorte de Davos russe. 1500 journalistes accrédités : une paille ! PAs d'embargo sur les journalistes... Et V. Poutine tient une conférence de presse réduite, devant sept journalistes de médias internationaux avec sept traductions simultanées, pendant trois heures. Je répète : trois heures ! Quel « leader » occidental accepterait ce genre de truc ? Aucun. Cela prouve qu’il est très sûr de lui et qu’il n’a pas peur de dire une boulette ici ou là, chose qui terrifie nos propres gouvernants, obnubilés par la petite phrase et ses conséquences médiatiques. Lui s’en fiche, est prêt à assumer, et ne lâche du coup aucune boulette. Après, étonnez-vous que ce gars là ait du succès en Occident (je m’entends : auprès du public occidental, allez faire un tour sur les réseaux sociaux) … Et à quel point la soupe qui nous est servie, cherchant à le diaboliser, est lénifiante et indigeste.

A la suite de ce forum, boycotté par les compagnies américaines, on notera que Total et Lukoil s'associent pour le pétrole de schiste en Sibérie. C’est bien sûr une pure coïncidence. Comme si les milieux d’affaires européens disaient … (censuré) aux directives « politiques » leur enjoignant de ne pas faire d’affaires avec le grand méchant loup, quand d’autres bêlent aux corneilles en faveur de la construction d’une improbable « Europe de l’énergie ».

Quelques petites nouvelles des navires russes, puisqu'on parle de ça : tout d'abord un porte-avion russe traverse la Manche sans se faire suivre par un navire néerlandais, puisque Orange n'en a plus assez. Tout va bien, madame la Marquise, the best alliance ever in history, vous allez voir ce qu'on lui fait peur à Poutine. Qui, pendant ce temps-là, poursuit fort logiquement son programme en lançant la construction de deux sous-marins nucléaires. Puisqu'il est là question de marine mais aussi et surtout de nucléaire. Vous savez, le truc qui ne sert à rien. D'ailleurs, tout à fait logiquement, le député F de Rugy (EELV) demande qu'on tape dans le budget de la défense et qu'on arrête la dissuasion.

Depuis le début, je m’étonnais de cette histoire d’Alstom. L’entreprise n’était pas en mauvaise forme et il fallait subitement la vendre, car elle n’aurait pas la taille critique. Cet empressement n’était pas explicable. Voici une ébauche de la solution : une affaire pendante de corruption qui pousse la direction à se presser et Siemens à ne pas se précipiter, (voir Vente d'Alstom: l'enjeu caché de la corruption) ; sachant que le FBI s’appuie sur « des mails remis par une source interne » : qui irait croire que le FBI ait pu les obtenir par l’intermédiaire de la NSA, puisque Bob Gate vient de nous dire benoitement, candidement, innocemment, agnellement que jamais les États-Unis n’utilisaient leur espionnage pour aider leurs compagnies nationales mais qu’en revanche les Français étaient les pires après les Chinois ? Saint Bob, priez pour nous. Plus sérieusement, l’article de Médiapart oublie la seule hypothèse réelle : cette histoire de corruption a été montée pour mettre la pression sur la direction d’Alstom et la forcer à vendre à GE, au moment où celui-ci en avait besoin. Bon, vous allez encore dire que je vois le mal partout et que je suis un complotiste. C’est pas bien, ça.

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Amende BNP. Ainsi, la banque française écoperait d'une amende de 10 milliards de $. Elle n'a contrevenu à aucune loi mais comme elle aurait fait des affaires avec l'Iran "sous embargo" et aurait utilisé le dollar à cette fin, alors elle obéirait aux lois américaines. Fichtre, l'argument est bien évidemment choquant. Qu'il s'agisse d'une banque qui s'en est plutôt bien tiré au cours de la crise bancaire depuis 2008 n'est évidemment pas anodin ; que les États-Unis visent encore une fois les positions françaises dans le négoce avec l'Iran, cela n'est pas nouveau depuis qu'on observe le retournement en cours avec Téhéran. Mais arguer de "l'empire du dollar" pour trouver un biais juridique, juste après l'affaire Alstom que nous avons signalée et qui laisse entrevoir une grande manipulation, voici qui devrait ouvrir les yeux : les États-Unis sont en guerre économique, absolue et sans pitié, contre notamment la France mais pas seulement.

Ce qui est une bien belle façon de faire la promotion du Tafta, au passage, (vous savez, ce grand marché sensé nous apporter 0,5 % de croissance...). Il reste que la seule réaction logique consistera à faire des transactions dans une monnaie autre que le dollar. Les Chinois et les Russes ont déjà commencé, les États-Unis s'affaiblissent eux-même dans la guerre monétaire qui est la plus violente qui se déroule sous nos yeux, même si vous ne vous en rendez pas compte. Si vous avez des dollars en liquide, il est urgent de s'en débarrasser...

Au fait : écoutes de l’Élysée, affaire PRISM, Alstom, BNP, avez-vous entendu des récriminations officielles ? vous non plus ? Du néo-molletisme ?

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Le Monde annonce que dans sa nouvelle équipe de direction, il y aura Leparmentier et Thomas Wieder, l'ineffable auteur du selfie chez Obama himself. Je propose qu'ils recrutent Laurence Parisot pour renforcer, il paraît qu'elle est disponible et qu'elle s'embête. A propos de Leparmentier, on lira l'ahurissante chronique livrée mercredi. On atteint là un degré de mépris élitiste et aristocratique, l'affirmation paisible du "there is no alternative" (TINA), la découverte d'un slogan "puisqu'on ne peut pas changer l'Europe changez la France oh et puis de toute façon on s'en fout" qui me laisse pantois, je dois vous le confesser. L'arrogance satisfaite du monsieur me rappelle les éditos absurdes de Guy Sorman dans le Figaro, il y a une dizaine d'années. Soudainement, je comprends vraiment ce que ressentait le Tiers-État en 1788 lorsque les aristocrates pensaient qu'il n'y avait pas d'autre alternative. Que la société d'ordre n'était pas bouleversable. Pas d'autre alternative ? Vraiment pas ? Ne venez pas pleurer, après...

Je suis de plus en plus effrayé par les dénis intellectuels que j'observe. Nous voici devant un "système" qui n'est plus capable de penser. En fait, nous sommes face à une gigantesque crise de la pensée. Le TINA ne mène à proposer que des ajustements millimétriques à telle déviation observée. Et quand les "déviations" se sont accumulées dans des proportions ingérables (gâchis écologique, bulle monétaire, ingouvernance politique, chômage de masse, ...) soit on dit "mais le système est résilient" (nous sommes dans une phase de mutation structurelle, laissons le système s'autoréguler et vive la destruction créatrice, un bien en sortira), soit on propose des solutions partielles (développement durable, austérité, souverainisme, keynésianisme).

Le Pape en Terre Sainte. Le front en prière contre un mur puis contre un autre. Il n'était rien besoin de dire d'autre. Parfois, des images sont saisissantes mais superficielles. Parfois des images sont profondes et marquent. C'était le cas. Sans un mot, tout était dit.

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Pendant ce temps là, le maréchal Sissi est élu et déçu par l'abstention (j'en connais d'autres qui sont déçus par l’abstention et qui en plus ne sont pas élus). Les massacres continuent en Centrafrique et la population manifeste contre les Français. Les autorités nigérianes savent où se trouvent 200 jeunes filles sans avoir eu besoin des drones américains. Il va y avoir une élection en Syrie. Kidal est sous contrôle mais on ne sait pas très bien de qui. Roland Garros a commencé. Les incidents navals et aériens se poursuivent en Extrême-Orient. La routine, quoi.

Parlons d'autre chose et notamment de trous noirs et d'univers. Dans cette vidéo que me signale un correspondant, Leornard Susskind explique le tout en 55 minutes, depuis la définition de ce que c'est un trou noir jusqu'aux conclusions cosmologiques, tout en utilisant des analogies très claires. Mon correspondant précise : "Enfin, l'univers est analogue à un trou noirs parce que l'espace même est en expansion, et l'expansion est d'autant plus importante que le point observé se trouve loin de nous, observateur. Or, à un moment l'expansion de l'espace doit être plus rapide que la lumière, ce qui définit une frontière au-delà de laquelle la lumière ne peut plus nous atteindre. A l'image du trou noir, toute l'information serait contenu dans cette frontière, dont nous ne serions que les projections holographiques".

Le modèle en trou noir est intéressant car il inverse la compréhension habituelle qu'on en avait. Habituellement, on considère qu'un trou noir est quelque chose qui absorbe : tellement dense que la lumière ne peut en sortir. Un trou, quoi. Dans le cas présent, il ne s'agit pas d'une limite intérieure (centrifuge) mais d'une limite extérieure (centripète) : L'expansion de l'univers est, à sa limite extérieure, tellement rapide qu'elle va plus vite que la lumière. Alors que le trou noir absorbe tout, la "limite noire" repousse tout, elle est au-delà. Inconnaissable. Hors lumière et en cela, similaire au trou noir. Il y aurait donc deux limites à l'univers : les limites intérieures et localisées, les trous noirs ; une limite extérieure, générale, la limite noire. Conclusion partielle : seule la lumière donne la connaissance. Mais il y a un au-delà physique de cette lumière et donc de cette connaissance. L'inconnaissance est physiquement fondée.

Livre reçu, acheté, paru ou lu (ou un peu de tout ça)

« Les Flottes du Débarquement : juin à septembre 1944 - la bataille pour la maîtrise de la Manche ». Jean Moulin . Sept mille bâtiments de guerre et navires auxiliaires ont participé au débarquement du 6 juin 1944. Dans cet ouvrage inédit, l’auteur ne se contente pas de présenter les unités les plus emblématiques et les plus représentatives du D-Day. Il rappelle aussi que, pendant tout l’été, d’importants combats et engagements navals ont permis aux alliés de conserver la maîtrise de la Manche. Ces actions, souvent négligées ou simplifiées par les historiens, ont joué un rôle crucial dans la réussite de la reconquête du territoire français. En effet, et c’est peu connu, les sous-marins allemands, les engins spéciaux, les vedettes et les avions de la Luftwaffe ont longtemps maintenu leur pression sur la flotte alliée. C’est le combat pour le soutien des armées à terre que ce livre raconte et éclaire sous un jour nouveau. L'auteur: Né en 1944, Jean Moulin se passionne depuis près de 50 ans pour l’histoire de la marine au XXe siècle. Auteur de nombreux livres considérés comme des références, récompensé par l’Académie de marine, il collabore également à des revues d’histoire maritime ainsi qu’à Flottes de combat. Voir page Facebook: http://facebook.com/marines.editions ou site www.laboutiquemarine.fr

Bulletin de l’Observatoire d’études géopolitiques N° 32 mai-juin 2014 avec des articles sur la Libye, l’Irak, le Sahara marocain et l’Algérie

« IL EST DES RUSSES. РУССКИЕ. 24 rencontres : photos et interviews » Où acheter le livre ? Et bien sur le site du « Courrier de Russie » ou alors, plus cher mais plus fun, à la rencontre-dédicace du livre le jeudi 29 mai à 19:30 à Moskovsky Dom Knigy, 8 rue Novy Arbat, qu’organise le « Courrier de Russie »... 24 noms, mais qu’ont-il en commun ? Rien de plus qu’être russe. Écrit dans les deux langues, française et russe, Ce livre est une tentative de saisir la mentalité russe moderne à travers les parcours, les idées et les rêves de vingt-quatre Russes d’aujourd’hui. 24 portraits illustrés par des photos d’Igor Moukhine et Mikhail Konchits où le chanteur Iouri Chevchouk vous parlera des ours après l’apocalypse, le député Oleg Smoline de sa longue carrière de parlementaire aveugle ou encore le physicien Georges Golitsyne des orages nucléaires. Et beaucoup d’autres…

Avec un peu de retard, le numéro 399 de mars-avril de la revue Futuribles et un dossier sur l'essor de la robotique.

Articles, sites et liens

Culture

J'étais ado et j'avais demandé un disque de rock. On m'a demandé "quel genre?". Comme je ne savais pas, j'ai dit du rock and roll. Du coup, on m'a offert un disque de Chuck Berry. Je me souviens avec émotion de son Roll over Beethoven. Je le mentionne parce que c'est le titre du billet. Souvenirs....

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Grand peuple

70° anniversaire du débarquement. Déjà, fête-t-on un 70 ° anniversaire ? Ce simple chiffre sent l'artificiel, le médiatique, l'inauthentique. Du spectacle fabriqué, jeté en pâture aux amateurs de vachettes de Guy Lux, un Fort Boyard où les petits nains sont chefs d’État. Factice et manipulé. Chosant.

Mot gourmand

Ébaubir

Mot bobo

Cinétique (dans le vocabulaire stratégique)

Événements

2 juin Séminaire de recherche / METIS - « Le renseignement en cartes : espaces, territoires et limites » Lundi 2 juin 2014 La création de la CIA - (hors thème) Dr François DAVID, maître de conférences HDR (Université Lyon III) Merci de bien vouloir confirmer votre présence par retour à marie-laure.dagieu@sciences-po.fr Pour la bonne organisation des séminaires du Centre d'Histoire de Sciences Po, nous vous remercions de bien vouloir patienter dans le hall du bâtiment jusqu'à l'horaire de début de la séance. Toutes les séances auront lieu de 17h00 à 19h00 au 1er étage du Centre d'histoire de Sciences Po (56 rue Jacob, 75006 Paris).

4 juin 6èmes Rencontres Parlementaires de la Sécurité Nationale : « Sécurité économique et protection du patrimoine informationnel : quelles coopérations État - entreprises ? ». Les travaux seront ouverts à 9 heures précises par Bernard CAZENEUVE, Ministre de l’Intérieur, qui a placé ces Rencontres sous son Haut-patronage. Cette matinée sera orchestrée autour de deux tables rondes : - Quelles stratégies de protection du patrimoine immatériel ? - Quelle gestion de la sécurité économique dans le cyberespace ? Ces Rencontres, organisées en partenariat avec le Centre des Hautes Etudes du Ministère de l’Intérieur, se dérouleront à l'Immeuble Lumière, 40 avenue des Terroirs de France, Paris 12ème. Pour suivre l'actualisation du programme et consulter les modalités d'accès, vous pouvez vous rendre sur le site de Défense & Stratégie Pour participer aux travaux, vous pouvez soit répondre par retour de mail, soit vous inscrire en ligne .

11 juin ANAJ IHEDN Le transfert de savoir-faire de nos armées, vecteur d’influence de la France à l’international ? Jean-Michel PALAGOS Président-Directeur Général de Défense Conseil International Mercredi 11 juin 2014 19h30 à 21h00 Amphithéâtre Des Vallières École militaire. Inscriptions

11 juin IHEDN Paris. Amphi Lacoste de l’École militaire, 18h30 à 20h30. Conférence autour du livre Le basculement océanique mondial (Lavauzelle) d’Olivier Chantriaux et Thomas Flichy de La Neuville. Les ambitions navales des puissances émergentes confirment, dans un monde en reconfiguration depuis la fin de la guerre froide, la centralité du fait maritime. La mer s'impose comme la nouvelle frontière stratégique et la matrice d'une compétition aux dimensions planétaires. La primauté accordée par les États-Unis d’Amérique à l'entretien de leurs capacités navales, l'éveil maritime de la Chine, la rénovation des flottes russes, la progressive conversion du Brésil et les réelles ambitions de l'Inde, rappellent que la grandeur, aujourd'hui, ne saurait aller sans l'extraversion. En analysant l'évolution des rapports de force en matière navale, les deux auteurs se proposent d'esquisser certains des caractères d'une compétition où la France, deuxième puissance maritime au monde, a un rôle central à jouer. Inscriptions. avant le 8 juin.

+14 juin La IX édition des Rencontres historiques de l'école militaire se déroulera le samedi 14 juin prochain sur le thème de la Libération de la France++. Le débat sera suivi de la projection en avant-première du film documentaire Ils ont libéré Paris. Inscriptions .

A. Le Chardon

Commentaires

1. Le lundi 2 juin 2014, 19:46 par Ph Davadie

Merci pour l'envoi d'ascenseur.
Les routes solaires sont intéressantes, car elles permettent d'ouvrir la voie aux "routes intelligentes" : comme on nous rebat les oreilles avec les voitures intelligentes, il serait bon que les routes le deviennent également, notamment en adaptant les limitations de vitesse au trafic rencontré et à la période de l'année : une sortie d'école limitée à 30km/h en période de vacances scolaires, c'est stupide. Je reconnais faire œuvre de science fiction pour la Gaule. Mais à l'étranger, pourquoi pas ?
Discours d'Obama à West Point : il répète ce qu'il avait déjà dit à propos des écoutes de la NSA : nous sommes les meilleurs, donc nous écoutons tout le monde et tant pis si vous n'êtes pas content. Reconnaissons qu'il est constant le garçon.

2. Le mardi 3 juin 2014, 07:18 par yves cadiou

Je trouve un peu cruel d'intituler “roll over Beethoven” un billet qui commence par le rejet de l'Europe : l'UE, soucieuse de se donner les attributs et atours d'un Etat, s'est choisi un hymne et il est extrait de Beethoven.
Alors “écraser Beethoven”, vous pourrez nous dire que c'est un accident mais l'on hésitera à vous croire.

ALC : ni un accident ni le hasard, certainement pas la volonté ni un calcul : le destin, tout simplement.

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