Comme toujours avec ces attentats en Europe (car en Europe, personne ne fait beaucoup attention aux très nombreux attentats en Afrique, au Moyen Orient ou en Asie centrale, bien plus massifs cependant), le commentateur se doit d’être prudent face à la vague d’émotion et de commentaires. La poussière est un peu retombée, on commence à avoir quelques indications de ce qui s’est passé et des zones d’ombres qui demeurent. Sans entrer dans ces détails de spécialistes de l’anti-terrorisme (ce que je ne suis pas), le stratégiste peut tout de même dire quelques mots.