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Le casque et la plume est paru

Il y a forcément de l'émotion à accueillir un nouveau-né : c'est ce qui est arrivé lorsque j'ai reçu ce matin "le casque et la plume". Et en plus, c'est un premier-né, donc j'ai les fiertés ridicules des jeunes papas devant leur progéniture, forcément un peu baveuse et piaillante...

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Il reste que vous pourrez également en profiter : il est en effet dans toutes les bonnes librairies à partir de demain, 9 juin. D'ailleurs vous avez enfin grâce à ce livre le critère qui vous indique ce que c'est qu'une bonne librairie. Pour les autres : # ISBN-10: 2717858733 # ISBN-13: 978-2717858730.

Pour ceux qui veulent une dédicace, il y a plusieurs solutions :

  • séance de dédicace à la librairie Julliard, boulevard Saint Germain, juste après l'état-major (métro Solférino) : le 30 juin de 17h00 à 20h00 : pour les Parisiens.
  • participation au festival du livre militaire, à Coëtquidan (56) , le 24 juillet. Enplus, je me suis arrangé avec le maître des lieux, il devrait y avoir un spectacle plaisant le soir et peut-être même un feu d'artifice, un vrai triomphe : pour les Bretons, de Brest-même ou galllos
  • pour les autres, possibilité de dédicace par correspondance, voir conditions ci-dessous.

O. Kempf

Présentation de l'éditeur

Le colonel Kempf a commandé à des cavaliers et des tringlots, des légionnaires et des marsouins, des appelés et des engagés (d'avant et d'après la professionnalisation), dans des régiments classiques ou expérimentant les bases de défense. Il a commandé en métropole, tout comme il a commandé en opération, dans un cadre onusien, otanien, européen ou national, dans les Balkans, en Côte d'Ivoire ou au Tchad, sans compter d'autres séjours individuels. Comme d'autres, autant que d'autres, il sait ce dont il parle. Car voici un recueil de lettres qu'il adressait, chaque mois, à ses capitaines. Non pas pour détailler ce qui était dit au grand rapport ou pour donner des consignes pour la prochaine manoeuvre ou la prochaine Opex, mais pour les aider à lever la tête au-dessus de l'horizon. Etre dans l'action du commandement ne doit pas être un obstacle à la réflexion : signature, visites d'autorité, cas de commandement, permissions, absences, ces pratiques anodines et quotidiennes sont souvent négligées, comme si elles n'étaient pas sérieuses. Or, elles préparent tout autant à la guerre, pour peu qu'on y réfléchisse, puisqu'à la fin, le feu tue, et cela n'a pas changé.

Un livre pour tous ceux qui ont la responsabilité d'hommes : chefs militaires, bien sûr, mais aussi manageurs civils.

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Voici les intitulés de ces lettres :

   * Commander
   * Maîtriser le temps
   * Signatures
   * Absences
   * Cas de commandement
   * Notations
   * Les visiteurs
   * Hiérarchie
   * Passation de consignes
   * Dien Bien Phu
   * Mobiliser
   * La réforme
   * La rentrée
   * Opex : être prêt
   * Métaphysique
   * 11 novembre
   * Sex, drug and rock and roll
   * Cohésion
   * Retards et priorités
   * Punir
   * Commander ou gérer ?
   * Initiative et popularité
   * Finir ?

Si vous souhaitez le recevoir dédicacé, écrivez-moi à :

   * Olivier Kempf
   * Revue de Défense Nationale
   * 1, place Joffre
   * 75007 Paris

en joignant un chèque de 22 euros (19 du livre + trois euros de frais d'envoi).

Indiquez moi à qui est destiné la dédicace, et la situation/occasion (si c'est un capitaine en situation de commandement, un anniversaire, un fana mili, un chef d'entreprise...) que j'adapte mon texte à vos souhaits.

N'hésitez pas à me préciser votre envoi par courriel. Pour ceux qui préfèrent, j'ai un compte paypal.

Et ceux qui veulent peuvent utiliser Amazon, seul site à mettre la couverture en ligne (même si le vert est ugly, il faut bien le dire)

Commentaires

1. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par capitaine commandant

Bonsoir,
J'achève la lecture du Casque et la Plume en même temps que je m'apprête à rendre mon fanion. Je me permets de laisser ce commentaire en forme de témoignage.
Tout en regrettant de n'avoir pu profiter de ce livre plus tôt, j'en ai vivement conseillé la lecture à mon adjoint ainsi qu'à mes lieutenants. En tant que capitaine commandant, j'aurais aimé profiter de dialogues de commandement de ce type avec mon chef parce qu'ils sont, ce que nous capitaines, attendons de la relation avec notre chef de corps.
Parmi tous les ouvrages "milis" ou connotés "milis" que j'ai eus l'occasion de lire, cet ouvrage est le premier qui éclaire le quotidien du commandement et ses exigences, au travers de lettres d'une sagacité malicieuse ou d'une rusticité espiègle. On est loin des Centurions mais tellement plus proche de la réalité du chef, interrogée sans complaisance.
Je me suis surpris à lire et relire certains passages en m'interrogeant sur l'action qui avait été la mienne lorsque j'ai été confronté aux situations décrites. Selon moi, la principale qualité de ce livre est qu'il aide à prendre de la hauteur, à lever le nez du guidon, à réfléchir tout simplement sur toutes les facettes du commandement. Il nous convoque non pas au grand rapport mais à un rendez-vous tonifiant avec notre métier de chef.

Sort-on mieux armé de la lecture de cet ouvrage ou accablé devant nos faiblesses révélées? Ni l'un ni l'autre, mais au moins a-t-on réfléchi à notre métier... et c'est déjà beaucoup.

égéa : mon capitaine, votre commentaire est la preuve qu'on a toujours profit à s'adresser à l'intelligence des hommes. Pas d'accablement (je ne regrette rien, dit la chanson) mais la méditation qui accompagne l'action : l'une symbolisée par la plume, l'autre par le casque (qui d'ailleurs n'est pas un casque Opex, mais un casque de métropole, celui dont on se sert en métropole : le choix n'est pas anodin..). Bon courage pour les nouvelles aventures qui vous attendent. Normalement, on a les boules quand on quitte son commandement. Au bout de six mois, si les symptômes persistent, consultez un médecin.

Je me permets de rajouter le message que viens de m'envoyer un ancien d'Indo, à qui j'ai envoyé le livre :

MERCI MON CHER OLIVIER POUR LE CASQUE ET LA PLUME, BIEN RECU .  JE N 'AI LU QUE LA TABLE DES MATIERES ET TON ALLOCUTION  SUR DIEN BIEN PHU; BRAVO ET CELA  M  A  EVOQUE MES
 VIEUX SOUVENIRS DE LA RC4 ET DE TIEN YEN  OU J AI PASSE PRES D' UN AN. JE ME RÉJOUIS DE LIRE TON BOUQUIN     
LE III/RACM ETANT LE GROUPE D 'ARTILLERIE DE LA RC4  ENTRE CAOBANG ET MONCAY      après NOUS AVONS ETE GROUPE D APPUI DU GM LEGION     ET LA BAGARRE DANS LE DELTA CHOBEN  , LE DAYMOA KHE ET  DONG TRIEU   MAIS C EST UNE BIEN VIEILLE HISTOIRE ...
2. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

J'ai eu l'occasion moi aussi de le lire (j'ai même entamé le premier chapitre immédiatement après l'avoir reçu). Mon commentaire ci-dessous est majoritairement repris d'un premier texte :

Plusieurs écrits militaires ont déjà utilisé le rapprochement entre l'épée et la plume (le revue "Influences" par exemple, ou encore le prix du même nom) mais à ma connaissance, c'est la première fois que le casque est associé à la plume pour former un titre de livre à sujet militaire. C'est en réalité très programmatique : au lieu de se concentrer sur l'art de la guerre (l'épée), le livre se concentre sur le travail de commandement quand l'épée est encore au fourreau, du côté de la tête du chef (d'où le casque).

En 23 textes courts et thématiques , le colonel Kempf se donne pour but de faire regarder ses capitaines "au delà de la colline". Le champs est très large : la maîtrise du temps, les absences, les notations, la hiérarchie, les opex, la cohésion, punir, commander ou gérer, retards et priorités ... Parmi ces textes figurent aussi deux discours, l'un sur Dien Bien Phu (peut-être en présence du général Bigeard, qui habitait la ville) et l'autre donné à l'occasion de la commémoration de l'armistice de 1918.

A chaque fois, dans un style qui ne recherche pas l'effet littéraire mais qui est assez mouvant, l'auteur énonce clairement ses idées. Le tout n'est pas sans humour, toujours pédagogique et sans pédanterie (la citation des "Bienveillantes" de J. Littel en p. 42 m'a cependant surpris).
Certaines phrases feraient sans doutes de bonnes maximes (sur le petit chef, dans la lettre sur les signatures en p. 13 par exemple), que Machiavel n'aurait peut être pas reniée pour son "Art de la Guerre".
La p.117 sur le combat vu comme un affrontement de volontés m'a fait penser à une phrase de P. Reynaud, "Pour vaincre l’ennemi, il faut, d’abord, nous vaincre nous-même" (un autographe vu dans un exemplaire de son livre "Finances de guerre", paru en février 1940).

La relation civil/militaire est dans ce livre éclairée depuis le point de vue des militaires, avec des notes sur la gestion (le "manadgmen't") ou encore sur l'importance des portes ouvertes pour un régiment. Pour celui qui n'a jamais vécu en escadron ou en compagnie, chaque page apporte son lot d'informations sur la routine, les frustrations, les hommes et leurs difficultés.

Quelques points, non pas négatifs, mais moins biens.
Il est quelques acronymes qui auraient mérités un développement, car inaccessibles au lecteur peu familier des usages internes de l'armée de terre (et a fortiori des armées). Jean Bodin (le théoricien de la royauté) aurait aussi mérité une petite note explicative p. 111. La couverture n'est hélas pas du meilleur effet. Elle était peu plaisante en image mais malheureusement, la voir de plus près ne l'a pas arrangée. Le vert et le bleu ...
Il est aussi dommage que ce soit si court (128 pages), mais c'est le choix du format, en plus de celui de l'auteur de ne pas trop les remanier et d'augmenter les lettres. Ne boudons pas la sincérité !

L'auteur, à mon sens, a atteint son objectif, celui de l'élévation du banal, de la stimulation des capitaines, en vue de leurs faire considérer les éléments les plus triviaux de leur commandement comme les éléments d'un tout, celui d'être prêt à combattre à tout moment.

Et voir au delà de la colline.

égéa : belle explication du casque, à laquelle je n'avais pas pensé. Pour les Bienveillantes, j'ai déjà dit ici que je n'avais pas aimé le bouquin. Pourtant, les quelques lignes que j'en cite me semblent pertinentes.

3. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Marrant, comme indiqué dans ma propre petite fiche de lecture (http://www.alliancegeostrategique.o...), je trouve au contraire que le langage est particulièrement exempt de jargon militaire par rapport à ce à quoi je m'attendais.

De mémoire, il me semble qu'il y a tout de même 2-3 lignes sur Jean Bodin et sa formule "il n'y a de richesse que d'hommes". Et puis je trouve que c'est mieux quand un livre pousse un peu aux recherches personnelles complémentaires.

égéa : Jean, je ne voulais pas entrer dans ce genre de justifications qui paraissent toujours un peu mesquines. Mais je suis heureux que tu précises ces deux points !

4. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Auquel cas, je précise mon point de vue. Nous nous rejoignons sur l'extrême majorité des points.

Sur le jargon : Il n'est pas question de jargon à mon sens, juste de quelques acronymes. Par exemple, j'ai en tête le BOI. Je ne savais pas ce que c'était. Certains sont explicités, d'autres ne le sont pas. Et ce n'est pas à mon sens le but ni de jargonner, ni de maintenir le lecteur dans l'ignorance. C'est une conséquence de l'objectif premier des lettres, destinées à des capitaines. S'ils ne savaient ce qu'est un BOI, ils ne seraient pas capitaines, non ?

Pour Bodin, je ne conteste pas l'analyse de la citation. Elle est tout à fait juste (et se vérifie avec les armées de Louis XIV et de la Révolution, avec un déséquilibre très grand entre les populations de la France et de quasi tous les pays européens du temps et débouchant donc sur des coalitions). C'est sans doute un vice d'historien, mais j'aurais souhaité pour le lecteur moins versé que moi dans les sciences historiques quelques mots décrivant l'auteur.

Pour ce qui est des "Bienveillantes", je n'avais pas vu votre billet. J'avais suivi la polémique lors de la sortie (et la grosse inspiration que l'auteur semble avoir pris ailleurs). J'en avais lu quelques pages à peine, en passant.
Je n'avais seulement pas fait le lien entre un livre sur un tueur d'einsatzgruppe et l'art du commandement. C'était donc une surpris en n'enlevant rien à l'usage que l'on peut faire de la phrase qui est extraite du livre.BOI : Bureau Organisation Instruction (ou Opérations Instruction).  Bienveillantes : l'extrait date du premier chapitre, où l'on ne sait rien encore du héros. ET je le répète, je n'ai pas aimé ce livre ! Bodin : écrivez un billet sur Bodin, je le passerai !

égéa :

5. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Ah mais ce ne sont pas sous ma plume (ou mon clavier) des "justifications", mon "marrant" soulignant la différence de perception qu'il peut y avoir sur ce point précis. Peut-être que je traîne trop avec des militaires...

Au vu de l'objectif du bouquin et de son double public cible, l'important est il me semble de ne pas avoir introduit de "rupture" radicale dans la compréhension du lecteur non militaire, qui l'aurait rebuté et fait passer à côté du message.

6. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Sur Bodin, je peux essayer d'écrire quelque chose, même si c'est très très loin de mes spécialités.

7. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par BQ
J'ai eu la chance de participer au colloque du 29 juin dernier, de vous y rencontrer, et de vous lire depuis.
 
Rêver pour entraîner,
S'entraîner à gagner,
S'entraîner pour gagner,
Gagne celui qui ne se reconnaît pas vaincu,
L'asymétrie des moyens n'ayant jamais été un gage assuré de la victoire,
Discipline et Institution, adhésion et valeurs, croyance et juste cause.
 
Tout groupe social, entreprise privé, équipe nationale de sport... finit par ressembler à ses dirigeants.
 
Vos écrits et vos mots résonnent juste dans un monde mouvant, donc déstabilisant où les repères sont de plus difficiles à identifier.
 
Les lettres étant des symboles et représentant des valeurs, peut être pourrions nous inscrire sur notre drapeau à trois couleurs les mots de Liberté, Egalité, Fraternité, afin que nos concitoyens aient pleinement conscience comme vous l'écrivez de la situation de paix procurée par l'Union Européenne dans notre zone géographique.
 
Je tiens à vous remercier également d'avoir "réveillé" des souvenirs de grand garçon / jeune homme, qui passait des journées à l'époque au Quartier Viénot, au camp de Carpiagne, sur les bases aériennes de Salon, Istres ou Orange, au port de Toulon, ou pour le défilé lors du retour de nos troupes dans cette même ville après notre engagement en Irak lors de l'opération Daguet. 
 
Quant au colloque du 29 juin, je vous avoue très modestement avoir été très impressionné par la qualité et la richesse des interventions.
Toute la complexité des opérations de conflits me semble englobée dans ce thème passionnant.
 
Quel stratège et logisticien que cet Oussama Ben Laden, qui après avoir fait tué Massoud puis détruit les Twin Towers, savait qu'il allait attirer bien des armées étrangères dans ce Pays de l'Insolence, avec des conditions d'élongations logistiques, géographiques, sociales, politiques, économiques et militaires très difficiles pour elles!
 
J'ai servi mon pays sans porter l'uniforme, en tant que VSNE à Tokyo, une tradition familiale d'"OPEX" peut être puisque mon père avait servi lui en Algérie, dans des conditions beaucoup plus dramatiques, et un de mes grands-pères en Syrie et au Liban d'alors.
 
J'aurai en tout cas beaucoup apprécié, puisque qu'au travers de mon VSNE en salle de marchés s'est inscrit le début de mon métier et de ma trajectoire professionnelle, recevoir de mes supérieurs des écrits aussi clairs que les vôtres sur ce qu'ils attendaient de moi.
 
En espérant pouvoir avoir à nouveau la chance d'échanger avec vous et de vous lire.
 
8. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par Zone d'intérêt

Voir fiche de lecture du livre sur zone d'intérêt : http://pourconvaincre.blogspot.com/...
Zone d'intérêt

9. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par GCA Garrigou Grandchamp

Mon colonel,

Je viens d'achever la lecture de votre ouvrage, que vous avez eu l'amabilité de me dédicacer, à l'initiative de mon fils aîné... qui prend soin d'approvisionner son père en lectures nourrissantes... Il est bien tombé. J'ai beaucoup apprécié votre exercice de commandement, qui illustre bien le "devoir de parole" qui est celui du chef et que le commandement doit pratiquer aussi bien oralement que par écrit.
Beaucoup de passages m'ont fait revivre ces expériences inoubliables des responsabilités de capitaine et de chef de corps et j'ai trouvé votre ton très juste.
L'exigence, la lucidité, l'absence de complaisance avec soi et les autres - dans une armée où l'on pratique souvent la commisération "pleurnicharde" - le souci de ramener les gestes et les actes à leur sens profond, l'invite au soliloque intérieur, sans lequel nul ne peut grandir, autant de postures salutaires.
J'ai particulièrement apprécié les passages sur l'excès de sensibilité qui gouverne parfois l'engagement de nos cadres, et aussi le rappel que l'amitié doit être une conséquence et non un but, un moyen, au risque de compromissions ou de manipulations. Je dois m'exprimer sur ce point de la sensibilité dans un séminaire de Chantal Delsol, aux Bernardins et, si vous me le permettez, j'aimerais vous citer.
Quant à vos courageux propos sur les "activités sexuelles", j'en note la franchise, pertinente, en relevant que - comme vous l'avez plus explicitement dit pour l'alcool - l'exemple de l'abstinence et de la fidélité conjugale, pratiquées par les chefs, ne peut qu'être bénéfique; je me suis longuement entretenu de ce point, avec profit, avec le colonel L.
Bravo donc pour avoir pris le risque de publier et bon succès pour les prochaines prises de plumes.
Cordialement vôtre,

GCA (cr) Pierre Garrigou Grandchamp

10. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par DSI

La critique du Casque et laplume est parue sur le site de DSI, voir ici.

11. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Wow, y'a même des DSI qui se reproduisent. Mais bon, là il peut, l'ouvrage le vaut tout à fait !

12. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par PLL

Bonjour,

C'est avec un grand plaisir que j'ai lu "Le casque et la plume". J'ai été sapeur-pompier volontaire durant quelques années et je forme désormais des sapeurs-pompiers dans plusieurs pays. Dans ce cadre je suis amené à rencontrer des "hommes du rang" et des officiers qui se posent souvent de nombreuses questions en matière d'organisation et de gestions "humaines".

Ayant pas mal " bourlingué" je peux apporter ma petite pierre et répondre tant que possible à leur question, mais en terme de commandement et de gestion humaine, "Le casque et la plume" est quand même un monument! Je l'ai conseillé à un ami, chef de centre d'un service incendie, qui l'a littéralement dévoré.
Et je profite de ce message pour vous souhaiter mes meilleurs vœux pour l'année 2011

Cordialement

13. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par

Le Casque et la Plume, futur classique ?

égéa : ce serait bien.... ! je vote pour.

14. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par lelittéraire

recension sur le site lelitteraire.com: http://www.lelitteraire.com/article...

15. Le mardi 8 juin 2010, 21:22 par TREPER

J'ose ! Je n'ai pas lu votre livre !... (que je vais me procurer sous peu). Je n'ai pas commandé, non plus, ou alors dans des conditions très particulières, à une autre époque, et ce, dans un régiment "spécial". il me restait "commander d'aimer" et "commander de respecter et de faire adhérer".

Mais je souhaite vivement, déjà, que vous puissiez continuer d'écrire, comme vous l'avez fait pour vos capitaines, dans vos futurs grands commandements, vers vos subordonnés. Peut-être pas tout de suite comme chef d'état-major d'armée ;-)) (le blog du CEMM, par exemple), mais comme COMBrigade, et plus.

J'ai eu la chance de connaître un COMRTNO (DBU) qui faisait cela avec aisance, style et justesse, malheureusement pas toujours apprécié à sa juste valeur, dans une période où beaucoup consomme le temps et zappe... où l'information nous envahit. Nous avions de quoi réfléchir voire "réflagir", encore et encore !
Merci, pour cette future lecture !

Respectueusement.

égéa : euh... merci ! Pour le futur, disons que c'est hautement improbable, hein ! Ou alors, on serait dans la cinquième ou sixième guerre mondiale, un truc comme ça. Quant à écrire, je ne fais que ça.

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