Il y a tellement de révolutions (environ deux par jour, ces jours-ci) qu'on n'a plus rien à dire tellement ça va vite. Donc non, je ne commenterai pas la Tunisie qui chasse ses Girondins, ni Kadhafi qui est en train de perdre, ni les problèmes qui s'étendent à Oman, ni la Côte d'Ivoire où finalement, le père Ouatarra a visiblement choisi d surprendre en prenant l'initiative de la force (Yamoussoukro, ce qui était attendu, mais aussi l'ouest, ce qui est plus surprenant), je ne parlerai pas de l'émission de ce soir à la télé d'abord parce que je ne regarde pas la télé (comment croyez vous que j'arrive à écrire tous mes trucs, vous qui passez 3h37 par jour devant) et qu'il n'y avait rien, ce soir, à la télé, je ne parlerai pas de Boeing ou du Kossovo ou de l'Irlande parce que tout ça, c'est trop vain.

Je vais donc parler de qq chose de sérieux, qui est le sujet qui occupe en moyenne 10 minutes à chaque repas de famille : Facebook. Si vous avez des ados ou des pré-adultes, vous avez droit dans la foulée à vingt minutes supplémentaires sur les mérites comparés de l'i-Phone et du Galaxy Samsung, et après quelques séances, mon opinion est faite : si jamais l'idée me prenait d'avoir un de ces trucs, ce serait à coup sûr un Galaxy. Mais je conviens que la chose se discute.
Facebook? Tout d'abord parce que j'ai vu le film "the social network" et que ce garçon m'est décidément sympathique : des claquettes en plein hiver, et certains trouvent qu'il n'a pas de talent ?